Bobo

(アルバム： Banger 3 - 2017)

Banger 3

Ma princesse me soigne mes bobos
J'me sens désarmé sans mes yougos
93 dans l'regard du logo
Négro joue pas à l'affreux Jojo (joue pas, joue pas)

Ils sont 4 dans l'auto (ah ouais?)
Moi j'suis tout seul avec mon auto
Transforme la cuisine en labo, transforme la cuisine en labo (galette , galette , galette)
J'men bah les couilles de rouler en Lambo'
Oui j'en ai vendu des kilos
Changer le biff en lingot (ah ouais frère)
Audi est lée-vo , oui la Audi est lée-vo
Avec son kil' de frappe dans l'coffre
J'ai pas la vie à Pablo
Pour ramener la ke-co en cargo
Non mais oh amigo
Pourquoi tu parles comme ça au bigo
T'es sur écoute, igo, ça parle de toi au comico
Parce qu'ils ont rien c'est fils de lâche
Ils montrent ta photo aux petits d'chez toi
Laissez-moi dans mes biz gro (laissez-moi, laissez-moi)
Dans le peignoir blanc de Soprano
J'ai pris le relais depuis le kouya mamao
J'ai pris le relais depuis le kouya mamao (Suprême Nikoumouk)
Moi pour ce genre de michto
J'ai pas besoin de sortir le gamos
C'est elle qui va prendre ton gamos
Pour que j'la baise dans ton gamos
T'es grillé dans toutes les taules
Tes remises de peine tombent à l'eau
Tu récidives, tu déconnes
Sous bracelet tu fais des braquos
Quand tu baises, tu sniffes la coke
Tu sais même plus refourguer d'la dope
Tous tes rappeurs sont des fiottes
J'rappe mieux qu'toi assis sur des chiottes
Y a trop d'choses qui m'empêchent de dodo
Le genre de choses qui se règle sur la moto
Tu ramasses les douilles, je ramasse l'oseille
Elle sont toutes bourrées comme sous XXX
J'aime pas l'amour, j'ai trop la haine
Dans ton regard, je vois d'la peine
A mes fréros d'Marseille chef de réseaux
A mes fréros d'Marseille chef de réseaux

Ma princesse me soigne mes bobos
J'me sens désarmé sans mes yougos
9.3 dans l'regard du logo
Négro joue pas à l'affreux jojo

Ma princesse me soigne mes bobos
J'me sens désarmé sans mes yougos
9.3 dans l'regard du logo
Négro joue pas à l'affreux jojo

C'est la street, mon pote
C'est la street
On s'en bat les couilles
On s'en bat les couilles